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Les valeurs et la discipline d'une équipe sont atteintes grâce à “une mise au point“ correcte de celle-ci. Dans l’ensemble, les résultats sportifs sont beaucoup moins importants que la façon dont ils sont atteints - avec un esprit d'équipe et un dévouement unifié au succès. Nous continuons à partager les histoires sportives de l'équipe d’AsstrA, toujours prête à atteindre des objectifs ambitieux.
Le football est un sport d’équipe, tout comme le travail. Un leader d’AsstrA est comme un entraîneur sportif qui travaille à faire ressortir les forces de chaque membre de l’équipe et à améliorer ses faiblesses. Eugen Monsch, directeur adjoint de la branche de Magdeburg d’AsstrA, n’a eu d’autre choix que de s’occuper du football quand ses amis proches l’ont fait. Aujourd’hui, il est fan du FC Magdeburg et du FC Bayern Munich et continue de jouer.
Eugen Monsch
“Je m'entraîne deux fois par semaine et en équipe, nous participons à des tournois amateurs le dimanche. Le sport soulage le stress et me détourne de la vie quotidienne. De plus, c'est un moyen puissant de libérer de l'énergie et de maintenir constamment la forme physique,” dit Eugen Monsch.
Christian Eckstein, chef de la division Express Delivery d'AsstrA, est un ancien joueur de football de la ligue locale. Il suit régulièrement les matchs du club de sa ville natale le FC Magdeburg en troisième division.
Christian Eckstein
“L'expérience d'être un chef d'équipe se reflète dans le travail lorsque vous coordonnez, répartissez les fonctions et apportez un soutien afin de remplir ensemble le plan établi,” explique Christian Eckstein.
Le chef de la division AsstrA Air Cargo, Anton Sejchasov, a l’amour du football inculqué en lui par son père. Enfant, il jouait dans la cour, puis à l'école et pour l'équipe universitaire. Il a participé à des matchs pour l'équipe nationale des expatriés à Kaboul, en Afghanistan. Il est fan du club sportif central de l'armée russe à Moscou depuis dix ans et planifie des week-ends en famille en fonction du calendrier des matchs du CSKA.
Anton Sejchasov
“Je suis convaincu que le plus grand plaisir dans un match n'est pas de gagner - c'est l'adrénaline que l'on ressent dans le sang. Tout d'abord, le football forme la discipline. Il enseigne le pouvoir de la persévérance, la volonté de gagner et le dévouement. C'est un jeu d'équipe et donner une passe précise à un coéquipier est parfois beaucoup plus agréable que de marquer soi-même,” commente Anton Sejchasov.
Denis Konetskij, un Gestionnaire de Trade Lane dans la division France, a commencé à jouer au football dans la cour. Puis il a continué à l'école dans l'équipe de classe, l'équipe de l'école et dans les compétitions. Maintenant, il joue avec des collègues et des connaissances chaque semaine. Ce n'est pas seulement une habitude mais aussi une tradition de créer un “environnement de football“.
Denis Konetskij
“Le sport n'est pas seulement une question d'exercice physique. C’est aussi une libération émotionnelle. Dans le jeu d'équipe, il est important de définir la position que vous occupez et de construire votre approche du jeu dans cette perspective. Chaque match est une nouvelle expérience et vous oblige de vous repenser soi-même, vos compétences et votre approche. Cela se reflète dans le travail d'équipe, où il est également important de trouver sa place. Et bien sûr, la concurrence - personne ne devrait sous-estimer cela. En effet, dans le travail, comme dans le football, il y a une lutte pour l’objectif principal - un nouveau client,” partage Denis Konetskij.
Le directeur régional pour l'Espagne, Artur Antonin, a commencé à jouer dans la cour de sa ville natale de Novopolotsk au Bélarus. À l'âge de douze ans, il est arrivé pour la première fois en Espagne, où sa famille d'accueil lui a offert un drapeau du FC Real Madrid pour son anniversaire. À partir de ce moment, il est non seulement tombé amoureux du pays, mais a également commencé à supporter ce club. De retour au Bélarus, il a voulu suivre les succès du club, mais les émissions du championnat d'Espagne n'étaient pas diffusées sur les chaînes biélorusses. Par conséquent, il a dépensé son argent de poche pour acheter les journaux “Pressball“, qui publiaient les commentaires de match le lundi. Avec l'avènement d'Internet, il est devenu possible de lire les actualités sur les sites sportifs espagnols et de regarder des émissions en direct.
Arthur Antonin
“L'habitude de lire les actualités sportives tous les jours est restée à ce jour. Il y a 10 ans, j'ai réalisé mon rêve : je suis allé assister à un match de mon équipe préférée au stade Santiago Bernabeu de Madrid. C'était une expérience incroyable. Je ne manque jamais un seul match du Real Madrid et je pense qu'ils gagneront chaque fois,” se souvient Arthur Antonin. “Tout en travaillant encore à Minsk, je rencontrais chaque semaine des collègues de football. Après avoir déménagé à Varsovie, j'ai gardé la tradition et je joue avec des collègues depuis dix ans. Mon amour pour le football a été transmis à mon fils. Qui sait, peut-être suivra-t-il la voie professionnelle et deviendra un sportif réputé".